- L'Université de Lyon
- Formation
-
Recherche
-
Innovation et entrepreneuriat
- Actualités et présentation
- Entreprendre pendant et après ses études : le Centre d'Entrepreneuriat
- Innover autrement : Fabrique de l’Innovation
- Accélérer les innovations : PULSALYS
- Coordonner l'innovation à potentiel scientifique : PUI IMPULSE
- Entreprendre et innover avec un doctorat
- Découvrir l’industrie : INDULO, un dispositif de médiation industrielle
- International
-
Vie des campus
- Actualités et présentation
-
- Carte des campus
- Pilotage immobilier
-
Responsabilité sociétale et environnementale
- Climat comment agir ?
- La stratégie de site
- Stratégies et études prospectives
-
Culture, sciences et société
- Actualités et présentation
-
- Le portail Pop'Sciences
- La programmation toute l'année
- Le Pop'Sciences Mag
- Festival Pop'Sciences
-
Pop'Sciences Jeunes
- Pop'Sciences Jeunes reportages 2023/2024
- Stage 3e
- Pop'Sciences et le projet LYSiERES²
- Fête de la science
Vous êtes ici : Version Française > Actualités et présentation
-
Partager cette page
Détecter la Covid-19 grâce aux molécules présentes dans l'air expiré
Le 8 juillet 2020
Des chercheurs de l’Institut de recherches sur la catalyse et l'environnement de Lyon (Ircelyon) testent actuellement une méthode fondée sur l'identification des composés chimiques présents dans l'air expiré pour détecter la Covid-19.
Depuis début juin, l'hôpital de la Croix Rousse à Lyon teste un mystérieux appareil au sein des services accueillant les patients atteints de la Covid-19. Il s'agit d'une sorte d'éthylotest de la taille d'un réfrigérateur doté d'un long tube flexible terminé par un bec amovible, permettant de détecter la Covid-19 grâce aux molécules présentes dans l'air expiré.
La méthode est la suivante : les chercheurs de l'Ircelyon (Unité CNRS / Université Claude Bernard Lyon 1) invitent les patients, capables et volontaires, mais aussi une partie du personnel soignant à souffler pour la science.
Les données actuellement récoltées permettront d'avoir des premières tendances d'ici fin juillet ou à la rentrée.
À plus long terme, cette méthode pourrait même être utilisée pour le dépistage des pathologies respiratoires : un nouveau champ de recherche en sciences de l'environnement !
Lire l'article complet sur le journal du CNRS
La méthode est la suivante : les chercheurs de l'Ircelyon (Unité CNRS / Université Claude Bernard Lyon 1) invitent les patients, capables et volontaires, mais aussi une partie du personnel soignant à souffler pour la science.
Nous sommes les premiers à avoir eu accès à cet instrument grâce au soutien de la région Auvergne Rhône-Alpes, des fonds européens de développement régional (Feder) et de l’État.
Se félicite Matthieu Riva, chercheur à l’Ircelyon.
Les données actuellement récoltées permettront d'avoir des premières tendances d'ici fin juillet ou à la rentrée.
À plus long terme, cette méthode pourrait même être utilisée pour le dépistage des pathologies respiratoires : un nouveau champ de recherche en sciences de l'environnement !
Lire l'article complet sur le journal du CNRS
Partenaires
À lire aussi
LE PROJET COVID-AIR
Cofinancé par l'Union européenne, le projet COVID-AIR a pour objectif d'identifier en temps réel les métabolites de la Covid-19 dans l'air expiré chez les patients contaminés en vue d'un diagnostic rapide.